J'étais hier au meeting de l'asmf, bonne occasion pour le bâtard de servir d'urinoir à un maximum de mecs. Ceux qui y sont allés visualisent les lieux : de grandes chiottes avec 4 ou 5 urinoirs alignés et 3 ou 4 mecs qui attendent entre deux urinoirs de se prendre la pisse de n'importe qui. J'y ai passé 3 heures à genoux ou allongé au sol dans la pisse, en 501, torse nu marqué BATARD, bretelles blanches, rekins. Ceux qui m'ont utilisé me reconnaitront ! L'année dernière à la même soirée j'avais eu droit à la pisse de plus de 40 mecs et je voulais m'en prendre encore plus. Les mecs entrent, matent les quelques mecs qui attendent et pissent directement sur eux ou dans leur gueule. Cette fois plus de 50 mecs m'ont pissé en gueule - j'ai essayé de tenir le compte mais quand 3/4 mecs me gavaient en même temps... -, certains plusieurs fois au cours de la soirée. Quand j'étais allongé par terre, plusieurs mecs m'ont marché dessus, piétiné, fait lécher les crampons de leurs paras. Un mec looké skin s'est particulièrement occupé de moi en me torturant les seins, en m'écrasant sous ses paras, et n m'humiliant pendant une courte pause à boire une bière au bar (crachats, léchage de ses pompes). S'il se reconnait, qu'il me fasse signe !, les autres aussi si vous m'avez utilisé, n'hésitez pas à laiser un message.
Il y a plus d'un mois à une soirée au Next, j'avais servi également d'urinoir pendnat toute la soirée, décrassé des pompes, bouffé des mollards pendant 3 bonnes heures a genoux ou alongé devant les chiottes. Et évidemment je demande qu'à recommencer, y compris sous la direction d'un domi. Avis aux amateurs !

Même plan que l'article précédent, pendant le trajet à poil en permanence dans la voiture !

Voici la suite des pics du même plan lopage... Merci pour vos commentaires !

Samedi je suis allé à al soirée Trash au Next pour voir à quoi cela ressemblait. Il y avait beaucoup, beaucoup de monde, de l'attente pour entrer puis au vestiaire. Je me suis mis torse nu, marqué BATARD au feutre sur un pec,  avec bas de jogging (à poil dessous évidemment) et rekins et je me suis promené directement dans la backroom. Rapidement deux mecs m'ont chopé les tétons et collé contre un mur pour me les travailler de plus en plus hard en me traitant de batard et en me baissant mon fut et me pelotant le cul avant de m'y fourrer un doigt et de me le travailler pendant qu'un troisième mec qui matait m'a roulé une pelle mémorable avant de m'envoyer un gros mollard sur la face en me disant : "batard va !", ce qui m'a évidemment bien excité.
J'avais trop envie de pisse donc je suis allé directement dans la cabine des chiottes (sans porte, directement visible par tous les mecs déambulant dans la backroom). Là je me suis mis à genoux à coté de la cuvette pour bien montrer à quoi je devais servir et je n'étais pas là depuis 5 minutes qu'un mec baraqué la trentaine me mate en passant et s'arrête, s'avance vers moi, sort sa queue...j'ouvre grand ma gueule d'urinoir et il se vide un gros jet de pisse dedans, je bois tout et il n'a pas du pisser depuis longtemps... Après lui, je vire mon bas de jogg et je suis complètement à poil en skets à genoux dans la pisse... au total 22 mecs vont me pisser dans la gueule et je vais quasiment tout boire, le reste m'arrosant de la tête aux pieds. J'étais vraiment l'urinoir de la soirée, le wc public et certains mecs se marraient en passant en se disant : "T'as pas envie de pisser y a un nouveau chiotte ?" ou "Mate ce gros batard qui a soif". A un moment je me suis allongé dans la pisse et un jeune mec a pissé direct dans ma bouche comme un chiotte à la turque avant de me piétiner d'essuyer ses semelles crades sur ma gueule, mon torse, mes cuisses... A la fin un mec m'a carrément marché dessus en gueulant : "sale batard ! sale pute de chiotte !" devant plusieurs mecs qui regradainet le spectacle en se marrant... Finalement après tant de temps sans bouger de là je me suis relevé pour faire un tour à poil... il ne se passait pas grand chose, ça tournait beaucoup comme d'habitude. J'ai quand même maté un mec à peine la trentaine qui se branlait dans son jean, torse nu, imberbe, belle gueule et cheveux ras, je me susi approché et je me suis mis à genoux pour lécher son paquet... il a sorti sa queue, je l'ai sucé un bon moment, sa queue grossissait dans ma bouche, il me tenait par les oreilles... il m'a fait relever et m'a retourné et poussé par terre à 4 pattes devant les mecs qui passaient et d'autres qui buvaient des bieres en discutant et devant eux il m'a baisé le cul comme une vraie chienne jusqu'à ce qu'il jute sur ma gueule déjà couverte de pisse et de crasse... Là j'ai joui moi aussi et peu après je me suis cassé...

Gérard et moi avons fait un plan à la Villette il y a déjà quelques années et il en a fait ce récit :

Alex est arrivé en fin d'après-midi et je lui ai proposé un strip poker simplifié pour occuper le temps ; je me suis assez vite retrouvé à poil alors que lui avait encore son caleçon et on a commencé à jouer des gages. Le jeu  a tourné et il a perdu; finalement il s'est retrouvé avec 7 gages à effectuer et moi 3. C'est ce qui a occupé la soirée.
Il était l'heure de dîner et j'avais des courses à faire. Je lui ai fait mettre un short et un débardeur et nous sommes descendus au sous sol dans le local des caves pour son premier gage; j'y possède une petite cave où j'ai un vieux matelas sur le sol; je l'ai fait mettre à poil; j'ai confisqué ses fringues que j'ai mises dans mon autre cave, je lui ai bandé les yeux, fait allonger sur le matelas et l'ai attaché solidement pieds et poings liés; j'ai refermé la porte de la cave et l'ai laissé méditer ainsi une vingtaine de minutes pendant que je faisais les courses.
A mon retour je suis allé le détacher , l'ai fait mettre à genoux sur le matelas, et comme j'avais bu pas mal d'eau et que j'avais envie de pisser, il a eu droit à un bon arrosage. Je l'ai encore laissé quelques minutes dans la cave , le temps qu'il sèche un peu puis je suis revenu avec ses fringues pour remonter chez moi avaler un rapide dîner. Vers 20h 30 nous avons décidé de partir : on s'est mis tous les deux en short et T shirt, rien d'autre (lui avait mis dans un sac ses autres vêtements car à la fin du plan je devais le ramener chez lui; j'avais pris aussi un plug et des pinces à seins ainsi que mon appareil photo). On est descendus au sous sol où est le parking mais comme c'était le même sous sol que les caves il a décidé que j'y subirais mon premier gage : on est retournés à ma cave et là, bien sûr je me suis retrouvé à poil sur le matelas encore humide de l'arrosage que je lui avais fait subir; je bandais très dur, il m'a fait mettre sur le dos, jambes écartées, m'a fait me doigter un peu puis la lumière s'est éteinte : il s'est mis au dessus de moi, a tiré la porte et tout à coup je me suis retrouvé aspergé d'un liquide tiède et odorant; je me suis branlé ma queue dégoulinante d'urine : j'étais à deux doigts de jouir. Il ne m'en a pas laissé le temps et m'a ordonné d'aller faire un tour jusqu'au bout du couloir des caves, nu, baskets aux pieds. Légèrement risqué mais super excitant. Inutile de dire que ma queue pointait à 90 degrés! Puis il m'a fait remettre mon T shirt sur mon torse encore humide par endroits, mon short et on est allés à la voiture.
On monte dans la voiture et là je reprends les choses en main : c'est à lui de subir un nouveau gage. Je sors les pinces, lui fais soulever son débardeur et mets les pinces à ses tétons et on part ainsi. Je sais que le frottement du tissus sur la pointe des seins et la pression sur les pinces vont rendre le tout bien sensible.. C'est le but recherché. Nous voici sur le périph ; direction porte de la Villette. Il baisse son short; sa petite queue est bien raide et il se la branle pendant tout le trajet. Il m'indique le chemin ; il m'a parlé d'un coin de drague qu'il a connu il y a quelques jours. On se gare près du canal de l'Ourcq. On voit des mecs qui se baladent, certains en tenue assez légère. On suit le canal jusqu'à une espèce de portail, à demi démoli; des mecs l'escaladent; on fait de même et on se retrouve dans une sorte de grand terrain vague, apparemment résultant d'une démolition : il y a quelques ruines, des gravats qui forment des monticules; de la végétation a poussé et constitue de véritables bosquets et il y a un large terrain à découvert, bordé par un mur le long du boulevard extérieur. Le périphérique passe à proximité, au dessus du terrain. On voit des mecs qui se promènent dans la pénombre. Excités on va faire un tour pour repérer les lieux. On va dans un bosquet ; je lui ordonne d'enlever short et débardeur et je lui retire ses pinces. Un mec approche; je lui dis d'attendre à genoux et je m'écarte un peu avec ses fringues, le mec passe, regarde et va plus loin. Un autre arrive il s'approche carrément d'Alex agenouillé et sort sa queue. Alex comprend et ouvre la bouche; il le pompe un bon moment. Je regarde le premier mec; il observe en se branlant. Puis l'autre stoppe et s'en va; le premier s'écarte. J'ordonne à Alex de me suivre ; on va sur le terrain découvert. Je le ballade ainsi un moment; malheureusement il y a peu de mecs mais ceux qui passent semblent intéressés par le spectacle: un maghrébin nous suit ; j'emmène Alex à la lisière d'un fourré et lui dit d'attendre en se branlant ; le maghrébin s'approche ; il le palpe un peu puis s'en va. Il était 22 h.
Dans nos conventions je devais à cette heure subir un gage : obéir à n'importe quel ordre. Evidemment, comme je l'espérais, ce fut de me foutre à poils. J'ôtai T shirt et short, ne gardant que mes baskets. Nous étions à une des extrémités du terrain ; il me désigna l'autre bout, le long du mur jouxtant le boulevard où était un portail métallique, plein mais un peu déglingué (avec quelques trous qui pouvaient permettre de voir si l'on voulait se pencher) : "Va m'attendre là-bas, mains sur la nuque, jambes écartées!" Je ne me fis pas prier. Je traversai le terrain à découvert et allais l'attendre dans la position indiquée, queue au garde à vous. Un ou deux mecs me regardèrent de loin ; puis j'en vis un approcher; c'était le maghrébin de tout à l'heure! Je le regardais venir, espérant qu'il allait me palper sinon plus mais après m'avoir observé de près en se frottant l'entrejambes, il s'éloigna. Alex arriva. Je remis mon short et repris les choses en main : sur mon ordre il s'accroupit, à genoux, assis sur les talons, au pied d'un monticule ; je m'écartais un peu. Un mec arriva, lui tourna autour et lui donna sa queue à sucer quelques instants. Lorsque le mec partit je me rendis compte que j'avais envie de pisser : autant profiter de la position : je vins derrière lui et commençais à pisser sur son dos; puis passais devant et aspergeai sa poitrine pendant qu'il se branlait. Il était très bandant ainsi.
Puis nous avons continué à nous promener dans le coin; malheureusement il y avait peu de mecs; finalement nous avons trouvé un escalier; il donnait sur une plateforme étroite qui surplombait le terrain; il faisait très bon; Alex s'accroupit à quatre pattes me disant : "Ton nouveau gage : bouffe moi le cul". Sa position écartait bien ses fesses, Je sortis ma langues et commençais à lécher; je sentais l'odeur de son cul, de sa transpiration et de ma pisse; cela m'excitait terriblement. Je fouillai son cul de ma langue du mieux possible; je le sentais gémir pendant qu'il se branlait ; je savais qu'en dépit de l'obscurité des mecs d'en bas pouvaient nous apercevoir ainsi…Finalement il m'arrêta.
Je sortis le plug de mon sac et profitant de ce que son cul était bien lubrifié je le lui fourrai: ça serait un autre gage!
Finalement nous sommes sortis du terrain vague ; il devait être près de 23 h. On voyait des mecs longer le canal ; je proposai de les suivre; nous sommes passés sous le périphériques et on vit un mec escalader des sortes de marches de béton ; c'était un terrain, le long du périphérique, appartenant sans doute à la Voirie et servant de dépôt pour des bornes de béton qui servent notamment à  empêcher les voitures de stationner sur les trottoirs dans certaines rues. On y voyait quelques mecs; le périphérique surplombait légèrement le terrain et l'on voyait nettement les lumières des voitures. Je me dis que c'était un endroit idéal pour un petit gage que j'avais en tête ; je dis à Alex d'enlever totalement ses fringues, chaussures comprises; je les pris et les dispersai sur des bornes éloignées l'une de l'autre. Il était ainsi à poils à quelques dizaines de mètres du périph (depuis je suis passé sur le périph un soir, je me suis mis sur la voie de droite et ai jeté un œil : si l'on regarde on distingue assez bien ce qui se passe sur ce terrain). J'ai de nouveau pris une photo puis l'ai laissé aller à la recherche de ses fringues, totalement à poils ; malheureusement il n'y avait qu'un mec assez loin!